Recto Y Solo

Andrés Marín

Guitare : Pedro Barragán

Recto Y Solo

Andrés Marín

Guitare : Pedro Barragán

La Scène nationale du Sud-Aquitain accueille en avant-première le nouveau spectacle du danseur virtuose Andrés Marín, avant sa création mondiale prévue les 10 et 11 février 2024 au Théâtre National de Chaillot... Un événement !

Andrés Marín, lauréat du Premio nacional de danza 2022 dans la catégorie création, est l’un des danseurs les plus singuliers de la scène flamenca actuelle. Autodidacte inclassable, l’expérimentation et le risque règnent en maître dans chacune de ses oeuvres, deux éléments que l'artiste considère comme essentiels pour que l’art flamenco reste vivant. Pour cette nouvelle création, il est accompagné par le guitariste Pedro Barragán. Par la danse, il revisite les écrits de Vicente Escudero, critique et interprète de flamenco du début du XXe siècle, premier bailaor à défendre la seguiriya, l’une des structures les plus complexes du flamenco.

Chorégraphie, danse, conception : Andrés Marín / Guitare : Pedro Barragán / Son, lumières : TBC / Costumes, décors : José Miguel Pereñiguez 
Textes : Vicente Escudero / Avant-première 20 janvier 2024 / Création 10 et 11 février 2024

Production : Daniela Lazary
Coproduction :
Andrés Marín Flamenco Abierto, Arte y Movimiento producciones, AAIC - Agencia Andaluza de Instituciones Culturales

sam. 20.01.24 > 20h
Saint-Jean-de-Luz > Salle Tanka, Centre culturel Peyuco Duhart

Danse - Musique
Durée : 1h

Tarifs

  • Enfant & adhérent 15-25 ans : 10 €
  • Adhérent réduit : 14 €
  • Adhérent classique : 18 €
  • Tarif plein : 26 €
Places numérotées

La presse en parle

"Celui qui danse en sachant à l'avance ce qu'il va faire est plus mort que vivant." « Signée Vicente Escudero, figure historique du flamenco, cette déclaration semble écrite pour Andrés Marín. Par-delà les époques, une affinité profonde unit le chorégraphe toujours friand de nouvelles expériences à celui qui, au début du XXe siècle, frotta son art aux avant-gardes esthétiques avant d'être le premier à danser la seguiriya. Recto Y Solo [...] revisite donc les règles de la danse masculine jadis exposées par Escudero dans son fameux Décalogue. À la lumière du regard contemporain porté sur les identités de genre, Marín déconstruit la culture hétéro-patriarcale du flamenco et retrouve l'essence même des conceptions de son prédécesseur. »

Isabelle Calabre, Le Parisien