San Salvador + Bilabal / Collectif Bilaka
San Salvador + Bilabal / Collectif Bilaka
Chœur populaire du Massif central et bal traditionnel du Pays basque. Deux groupes pour une soirée dansante et festive. San Salvador chante à six voix, quatre percussions et douze mains. Venus non pas d’Amérique centrale mais de Corrèze, ces amis d’enfance ont très tôt baigné dans le répertoire traditionnel sans s’y restreindre. Même histoire pour les musiciens et les danseurs du collectif Bilaka. Alliant l’énergie brute des musiques populaires à une orchestration savante, ces deux ensembles promettent de nous plonger dans une transe vibrante.
San Salvador : Thibault Chaumeil (Chant, Tom Bass), Eva Durif (Chant, mains), Gabriel Durif (Chant Tambourin), Marion Lherbeil (Chant, Tom Bass), Laure Nonique-Desvergnes (Chant, Mains), Sylvestre Nonique-Desvergnes (Chant, cymbale de défilé miniature, Grosse caisse)
Production : Lost in Traditions
Coproduction : Le Chantier - Centre de création de nouvelles musiques traditionnelles & musiques du monde, SMAC Des Lendemains qui Chantent (19)
Avec le soutien : Drac Limousin, Région Limousin et Conseil Général de la Corrèze
Bilabal / Collectif Bilaka : Ellande Etcheverry : txistu, voix / Sebastien Polini : txistu, voix / Pauline Fafitte : sibote, xirula, ttunttun, voix / Xabi Etcheverry : violon, voix / Jokin Irungaray : percussions, voix / Ximun Garat : basse, voix / Bastien Marianne : guitare, voix / Maddalen Luzzi : accordéon diatonique, voix / Patrick Fischer : régie son FOH
sam. 30.03.24 > 20h
Saint-Jean-de-Luz > Salle Tanka, Centre culturel Peyuco Duhart
Tarifs
- Enfant & adhérent 15-25 ans : 10 €
- Adhérent réduit : 12 €
- Adhérent classique : 14 €
- Tarif plein : 20 €
La presse en parle
"Cette transe occitane, qui ressuscite de façon polyphonique les chants monodiques anciens du Massif central, ne ressemble à nulle autre. [...] Ils inventent sur des compositions neuves le folklore du futur : à la fois enraciné et terriblement vivant. [...] L’esprit fantasque et le souffle bien accroché, ils transforment les vieilles complaintes en rituels à danser et font claquer la campagne corrézienne au vent tribal d’un village aussi global que rock’n’roll."
ffff, TÉLÉRAMA