Je ne me sens bien, au fond, que dans des lieux où je ne suis pas à ma place

Arnaud Agnel

Double A Production

Je ne me sens bien, au fond, que dans des lieux où je ne suis pas à ma place

Arnaud Agnel

Double A Production

“Comment devenir qui on est destiné à être ?” Arnaud Agnel adapte le roman Lettres à Juan Bautista d’Yves Charnet pour soulever une multitude de questions universelles sur la vocation, la quête de soi et notre place dans le monde. Il y a le torero, le poète, le metteur en scène et le comédien. Et nous ? Embarquez dans un voyage littéraire au cœur de la poésie et du monde taurin.

« Ce spectacle est tout public. Rien de la "corrida" n'est ici montré. Tout est suggéré. Car si la tauromachie est l'atmosphère dans laquelle on baigne, elle n'est ici qu'anecdote. Juan Bautista est torero, certes, mais il aurait été pilote de Formule 1 ou danseur étoile que c'eut été la même chose ; seuls son parcours et ses pourquoi/comment comptent. Le reste importe peu. » Arnaud Agnel

Adaptation, mise en scène, jeu : Arnaud Agnel / Voix off : Philippe Caubère / Création lumières : Élise Riegel / Régisseur général : François Jaulin / Régisseur son : Yann Le Floch / Création le 5 septembre 2019 au Théatre d'Arles

Production : Double A Production
Coproduction : Ville de Dax
Aide à la création : Région Sud / Conseil Départemental des Bouches-du-Rhône / Ville de Tarascon-sur-Rhône / Ville d'Arles / Union des Clubs Taurins Paul Ricard / Théatre Les Tisserands – (Lomme – 59) / Théatre L'Atrium (Dax - 40) / Théatre Les Carmes (La Rochefoucauld – 16) / Théatre Le Quai des Arts – Beaucaire (30)

mar. 26.03.24 > 20h
Bayonne > Théâtre Michel Portal

Théâtre
à partir de 14 ans
Durée : 1h40

Tarifs

  • Enfant & adhérent 15-25 ans : 6 €
  • Adhérent réduit : 8 €
  • Adhérent classique : 10 €
  • Tarif plein : 12 €
Places numérotées

La presse en parle

« Racontée du point de vue d'Yves Charnet, l'histoire est aussi celle d'un écrivain qui tente de toucher du doigt l'énigme de son fantôme romantique, un portrait en composition sur le plateau, un kaléidoscope aux multiples facettes. […] Une performance de près d'une heure trente, rondement menée et sans temps mort. Un très bel hommage à mots soutenus. »

-, LA PROVENCE

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